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Promenons nous, dans les bois

« Je rêve d’un peuple qui commencerait par brûler les clôtures et laisser croître les forêts. » écrivait Henry Thoreau en 1862. Derrière cette phrase, Henry Thoreau exprime sa volonté d’abandonner les divisions et limites artificielles que l’homme a créées pour se rapprocher de la nature et des forêts, lieu de vie et de richesse. Il voyait dans la nature, la sérénité et la paix intérieur, loin du bruit et des tourments de la société moderne et artificielle, mais aussi une vie plus simple, plus primitive et plus sauvage.

Les hommes ont toujours entretenu des relations étroites avec les forêts, que ce soit pour se nourrir, se protéger ou encore se divertir. Les forêts sont souvent perçues comme des lieux profonds et mystérieux, remplis de légendes et de mythes. Les forêts d’Auvergne étaient considérées comme des lieux sacrés par les peuples Celte et Gaulois qui y vivaient avant l’arrivée des Romains.

Voici une série mettant en scène les forêts d’Auvergne. Elle se compose principalement de mise en valeur de détail, d’éclairage en clair obscur, de ses forêts profondes et souvent liées à des légendes ou mythes locaux : la bête du Gévaudan en Margeride, la légende du Pavin près de Besse pour les plus connus. Mais une recherche rapide permet d’en trouver des dizaines et des dizaines...

Cette série, en couleur pour une fois, nous emmène donc en balade dans les forêts d’Auvergne en se plaçant le plus souvent à hauteur d’enfant, en mettant ainsi en avant la perception enfantine des forêts, à la fois mystérieuse et magique ?

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